LE LAC DES CYGNES

Premier ballet de Tchaikovski, Le Lac des cygnes résonne d’une singulière douceur et mélancolie. En 1895, Marius Petipa s’empare de ce chef-d’oeuvre et crée le mythe de la danseuse-cygne, ballerine par excellence. Dans la version de Rudolf Noureev, les personnages prennent toute leur ampleur psychologique offrant une dimension plus profonde à ce somptueux ballet d’action.







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Dans 'Le Lac des cygnes', le prince Siegfried se dérobe à la réalité du pouvoir et du mariage en se réfugiant dans ses rêves : lui apparaît alors un lac magique, porteur de l'amour idéalisé d'une femme qui, victime de la malédiction du sorcier Rothbart, se transforme chaque jour en cygne avec ses suivantes avant de redevenir femmes la nuit tombée. 
 Pièce caractéristique des 'ballets blancs', en référence aux tutus portés par le corps de ballet, elle fait s'enchaîner ensembles majestueux et danses de caractères, duo très attendus et passages techniques.


Je connaissais la musique, aujourd'hui je connais les pas. Si j'ai été voir ce ballet, c'est avant tout par amour de la danse et pour la majesté du ballet.
Cet exploit autant technique que physique, est tout simplement époustouflant.
Je n'ai pas d'autres mots que magique pour exprimer le sentiment que j'ai éprouvé tout au long de ce spectacle. Entre solos et variations, c'est à une vrai féérie que j'ai pu assister.

Les representation du "lac des Cygnes" ont eut lieu du 29/11/2010 au 05/01/2011 à l'opéra Bastille à Paris.

LP