samedi 11 juin 2011

Bonheur du travail
















Antoine Perrot
à la galerie Lahumière

Plus impréssionnant que les oeuvres, c'est le titre. "la peinture porte bonheur". Il semble un peu enfantin, mais vraiment touchant. Je ne me suis pas beaucoup demandé la question sur mon bonheur dans le travail artistique. Peut-être, c'est parce que je me suis mis dans le préjugement que l'artiste doit être malheureux. Ces oeuvres d'Antoine Perrot, apporteront à qui le bonheur?
Le sujet peut se changer par le paradigme du temps. Alors qu'à XIV siècle, nous avons donné notre vie aux dieux, aujourd'hui nous consacrons à notre bonheur. Certains ont dit que l'idée du bonheur avait été né tout récémment : Le renaissance mène la perception du "moi", ensuite le concept de bonheur est né d'ici. Dis-donc, à la prochaine génération que sera traité comme le sujet?

par Park, Sungho 258775

Richard Prince


Richard Prince
BnF François-Mitterrand du 29 mars au 26 juin 2011

Richard Prince connu par ses re-photographies de cow-boys ou sa série de Nurses. Il est certainement un artiste qui raconte le mieux de l’Amérique fin de siècle. Richard Prince fait des re-photographies comme les autres poste-modernistes. Il reprend des images de la publicité ou celles d'autres. Paranoïaque, il ne cesse de ramasser des images : le verre qu'il boit avec, la premières édition de livre, la photo signée, l'oeuvre de l'autre artiste, etc.
L'image qu'il prend, ne regarde pas que ce soit un origianal ou une reproduction. Comme s'il défend que ce n'est pas très important, alors que quelqu'un a insisté de l'importance de l'aura dans une oeuvre originale. La photographie et la vidéo nous permettent la réplication infinie. Est-ce qu'il y a un marge à nous - les modernistes qui portent en H&M et font les coures chez Monoprix, pour dire de la value artistique d'une oeuvre de maître?
Dans l'exposition à la BNF, consacré principalement aux livres, aux affiches, et aux reproductions, nous pouvons voir sa passion à la collection. Varié et divers, il est difficile à saisir son intention au premier coup. Voyons quelques tableaux, il écrit au-dessus. Des fois, son écriture est trop élarge que l'on ne peut pas lire en entier. D'ailleur, il dit avec comme si c'est une blague. Ses oeuvres repris et basé sur le poste-modernisme nous fait voir les aspects variés de la culture de l'amérique.
 par Park, Sungho 258775

Un théâtre silencieux




AJAC (l'association des jeunes artistes Coréens) a eu l'exposition intitulé "un théâtre silencieux" pour ses nouveaux 10 membres du premier avril au 23. Son explication est au-dessous.

« Le Théâtre Silencieux »
Au théâtre, nous découvrons une mise en scène des sentiments de l'homme à travers la chorégraphie, le texte et la dramatisation. C'est à travers la peinture, la sculpture et la photographie que les artistes coréens du groupe Ajac explorent la nature de notre l’esprit.
En s’introduisant au théâtre, les artistes créent une situation singulière: une mise en regard de ces deux approches artistiques.
Oeuvres en sons et mouvements d'un côté, de l'autre, oeuvres figées et silencieuse,
Un tel contexte n’est pas sans rappeler les transformations du monde moderne qui s'affirment dans les confrontations du spirituel et de l'économique et industriel, de l'artisanat et des nouvelles technologies, du traditionnel et de la modernité... Ces "forces" qui s'opposent, cette "tension" continuelle peuvent apparaitre alors comme clef de voûte de nos propres vies, comme une fenêtre sur nos idéaux et offrent des indices pour mieux comprendre vers quoi se tourne notre regard. Dans cet esprit, Le Théâtre Silencieux propose quelques formes de "collisions" des cultures Française et Coréenne. Bien que l’exposition soit silencieuse, écoutons ce que les oeuvres ont à nous dire...
par Park, Sungho 258775 

Grande Chaumière


L'Académie de la Grande Chaumière est une école d'art située à Paris au 14 rue de la Grande Chaumière. Fondée en 1904 par la Suissesse Martha Stetller(1870-1945) et dédiée à la fois à la peinture et à la sculpture, elle fut très réputée au début du XXe siècle. Reprise en 1957 par la famille Charpentier, fondatrice de l'Académie Charpentier, elle abrite toujours sous son nom d'origine deux ateliers libres, l'un de peinture et de dessin, l'autre de croquis, ainsi que des cours du soir.

Avant, peut-être, un étudiant sérieux dans cette académie pourrait devenir un vrai artiste. Néanmoin, en ce moment il n'y a guère ou certainement pas, cette possibilité. Ce n'est pas la peine qu'un artiste se plaigne sa condition autour de lui. La plupart des artistes rêvent d'être un grand artiste un jour, malgré qu'ils souffrent par l'indifférance des gens. Cette fantasie est venu d'une idée à l'époque de l'impressionisme. Evidemment. bien que les impressionistes soient critiqué au salon des indépendants, quelques temps après, ils reçoivent une nouvelle perspective par le plublic. Cela fait perdre la puissance des critiques. Mais à ce temps-là, le mythe d'un artiste est aussi né, par example Vincent Van Gogh. Il est considéré l'un des plus grands artistes aujourd'hui, tandis qu'à son temps, il n'a vendu que deux tableaux. Qui fait cette distance? Cet écart nous fait encore rêver de l'avenir en tant qu'artiste. Je ne pense pas que le réel doive nous enfermer, mais il est necéssaire que les artistes regardent correctement le réel devant eux.

par Park, Sungho 258775

vendredi 10 juin 2011

Marc Desgrandchamps – Le regard lucide vers la peinture

Il y a 5ans à peu près, un moment obscur ou je m’en doutais par rapport aux artistes peintres contemporainnes françaises, cet artiste été un éclat dans l’obscurité pour moi. En rencontrant avec les tableaux de cet artiste splendide je me suis encouragé à continuer mon travail artistique. C’était un grand plaisir de retrouver encore ses tablaux à l’exposition actuelle qui a lieu au musée d’art moderne de la ville de paris. Il est un artiste renormmé en ce moment, alors il n’est pas nécessaire de rajouter les mots sur son travail, je veux donc décrire ici tout simplement ceux que j’ai remarqué sur ses oeuvres, avec un état d’âme tranquille et léger.

Il travaille avec des bribes de mémoire, à partir d’évènement fortuits. Des situation indéterminées. Il dispose des pièces sans identité ; les figures, l es objets et le paysage. La disparition et la apparition coexistent en même temps dans son tableau. Il y a aussi une reflexion entre la vie et la mort qui est présenté par le corps tronqué et transparent. Sur son tableau on remarque tout d’abord certaines figures placées au paysage, alors l’artiste prend un thème très clair et pertinant celui qui engage notre confiance pour exprimer son sujet. Ensuite, en sous de le vue plus attentif, son image nous montre une composition qui a dérivé par une réflexion profonde d’une artiste. C’est un précieux fruit qui a obtenu sur une recherche profonde et après de nombreux tâtonnement. Je trouve que son geste est exactement la même avec des artistes peintres anciennes qui poursuivaient le nouveau davantage et composaient le tableau en donnant l’importance à la recherche de l’essence de la peinture. Dans ce sens, bien que le tableau peut changer son apparence par la fluidité du temps, une investigation vers l’espace ambigu, soit le geste de peintre qui essaie à trouver l’essence de la peinture, ne change pas, et ne changera pas jusqu’à l’avenir. Marc Desgrandchamps est un grand artiste français assez remarquable à aujourd’hui et un bon modèle sur l’attitude de peintre dans un domain de la peinture contemporaine.


Par Hangki MIN ( 259869/ L3 / Arts Plastiques)

« Artiste », est-ce une profession ?

Peut-on définir l’activité de l’artiste comme une profession ?
Lorsque l’on me demande ce que je fais dans la vie, j’essaie généralement d’éluder la question.

Au lieu de sortir ce mot d’ « artiste » de ma bouche, je dis ce que je fais actuellement comme travail artistique, avec une attitude un peu modeste. Je pense que c’est peut-être parce que le titre de « l’artiste » véhicule une image bien distincte des autres professions.

L’image typique de l’artiste d’aujourd’hui ne s’est pas construite subitement. Cette conception de « l’artiste » a changé à travers les époques et les pensées qui ont dominé ces époques.

« Le succès de l’artiste dans le marché de l’art s’oppose à sa dignité en tant qu’artiste authentique qui ne doit poursuivre que le bien, le beau et le véritable.
Au contraire, l’échec de l’artiste dans le marché de l’art lui rend la dignité. »

Selon cette citation du peintre autrichien, Joseph Anton Koch (1768-1839), l’artiste ne doit pas rechercher la mondanité, il existe une sorte d’qppel divan qui différencie le métier d’artiste des autres professions.

Mais, de nos jours, en ce qui concerne les artistes qui travaillent avec du matériel très cher comme les outils informatiques ou qui travaillent globalement, de pays en pays, pour une activité de grande envergure dans l’objectif de devoir rechercher de nouvelles idées, il est évident qu’ils possèdent le moyen de se financer pour la continuité de leur mouvement artistique.

Par exemple, pour François Morellet, Andrea Gursky ou Damien Hirst – des artistes onéreux qui possèdent ce moyen de vivre de leur travail- le titre d’ «artiste » peut être une véritable profession, sinon il est considéré comme une satisfaction personnelle de l’artiste lui-même.


Par Hangki MIN ( 259869/ L3 / Arts Plastique)

L’immortalité de la peinture

Depuis longtemps, on entend parler de la mort de la peinture. J’imagine les années 90 comme une période où l’ambiance a commencé à changer à cause de l’émergence du multimédia. A cette époque, la peinture a commencé à être remise en cause, beaucoup de discussions portaient sur la crise de la peinture. Cette anxiété ne concernait pas seulement le domaine pictural mais elle s’était répandue à tout notre environnement. Je pense que ce phénomène était un effet secondaire d’un amalgame excessif.

A partir du XXème siècle, les jeunes peintres qui honorent de grands artistes comme Van Gogh, Gauguin ou encore Cézanne créent de nouvelles zones d’idéologie. Dans les années 70, les artistes envisagent la peinture d’un point de vue philosophique. Puis dans les années 80, ils commencent à considérer la peinture comme un acte politique capable de susciter des réflexions se rapportant aux mouvements sociaux. Au début des années 90, les artistes réalisent des peintures abstraites et figuratives en approfondissant et en développant des notions ambigües mais en appliquant également à leur travail des médias variés représentatifs d’une nouvelle époque. Aujourd’hui, à l’ère de l’informatique, il n’est pas étonnant de croiser un peintre qui travaille sur écran ou sur d’autres matériaux informatiques en lieu et place de sa toile. Son oeil imite le regard de la caméra, et l’artiste peut percevoir le monde réel par le moyen représentatif de la lentille de la caméra. C’est pour cette raison que l’organe sensoriel change de spécificité et que, par conséquent, la vision de la peinture change aussi. La grande tendance de la peinture d’aujoud’hui est à la recherche d’une direction à suivre et de l’identité du peintre dans une culture en pleine transformation. La peinture qui me semble idéale est une peinture qui serait tangible et qui pourrait toucher directement nos sens tout en possédant évidemment des notions théoriques et artistiques.

Certaines personnes disent que nous sommes arrivés au terme de la peinture parce qu’elle représente un intermédiaire conservateur. Je comprends que cette conception soit une manière de nous amener à réfléchir et à discuter avec animation sur la recherche de nouvelles notions dans la peinture. Il faut se demander avant de déclarer la mort de la peinture si nous en avons vraiment vu l’aboutissement. Quant à moi, je considère la peinture comme un médium potentiel qui a la capacité d’évoluer avec son époque. La peinture est un espace où l’on exprime la sensation mais aussi la perception. Comme cela, la peinture est un intermédiaire simple mais original.


Par Hangki MIN ( 259869/ L3 / Arts Plastiques)